Les croyants y verront un miracle. Après la fermeture de Google +, les fichiers perdus ont été retrouvés dans un sous-dossier sur mon ordinateur. Les cartes postales seront sauvegardées sur le serveur de notre site.
1/22. Souvenir de Castelsarrasin. Date : Inconnue. Destination : Monsempron-Libos (Lot-et-Garonne).
Les croyants crieront au miracle. Les autres feront remarquer que faire le tri dans les dossiers de son ordinateur peut permettre de trouver des fichiers que l’on croyait perdus. Après l’arrêt de Google +, où je les stockais, j’étais persuadé que, comme d’habitude, je n’avais pas fait de sauvegarde de mes cartes postales anciennes. Et voilà que je découvre un sous-dossier Google + dans mon dossier Téléchargements. Pour me protéger des caprices des sites qui décident un beau jour de supprimer certains de leurs services, je vais déposer ces images précieuses sur le serveur de notre propre site. Des cartes postales anciennes, quand il n’y en aura plus, il y en aura encore, car je n’ai pas fini de les scanner ! Pour commencer voici les 22 premières de Castelsarrasin, qui en compte 311.
Mes lecteurs savent combien j’apprécie la Maison du Peuple de Morlaix, en particulier sa salle des fêtes d’un autre âge dont je suis tombé amoureux. Aujourd’hui ont été réceptionnés les travaux de consolidation de cette salle des fêtes qui lui permettront d’attendre sa rénovation.
DU BEAU MONDE À L’EXPO. Par la même occasion la CGT locale, propriétaire des lieux, a procédé au vernissage de l’exposition « La CGT, 120 ans en Finistère, hier, aujourd’hui, demain » (ouverte jusqu’à mercredi), devant un public de choix. À part moi, on remarquait en effet la présence de Claude Bonnard, du Théâtre de la Corniche, Annie Loneux, conseillère déléguée de Morlaix communauté, Guy Tandé, président du Comité de la Maison du Peuple, Anne-Marie et Alain Quesseveur, membres très actifs de ce comité et de deux jolies journalistes des quotidiens locaux, Le Télégramme et Ouest-France.
PROBLÈME D’IMAGES. Un mot sur mes déboires de photographe. Avant de me rendre à Morlaix, j’ai sorti de mon sac le caméscope Panasonic en vue de recharger sa batterie. J’ai constaté qu’il avait subi un choc sévère et qu’il était fichu. Je vais regretter cet appareil qui m’accompagnait en permanence car il produisait des photos et des vidéos de qualité, grâce notamment à son excellente optique Leica. Lorsque j’ai voulu photographier le vernissage de l’exposition, l’écran de mon Fujifilm XE1 m’a appris que la carte-mémoire était absente. Damned ! Elle était restée dans l’ordinateur. Il ne me restait plus que le caméscope JVC 3D qui fait aussi des photos en 2D mais de qualité médiocre en basse lumière. Je n’ai vu autant de grain sur des images qu’au temps de l’analogique, quand on gonflait trop la sensibilité ISO de la pellicule ou quand on ratait le développement. J’aurais mieux fait d’utiliser mon smartphone. Pas eu le réflexe. Question d’âge !
Et voilà, c’est le dernier jour ! Comme d’habitude, on fait quelques images, forcément un peu répétitives, pour se souvenir des lieux où on a passé deux semaines agréables. Au bilan météo, rien à dire. À part le dimanche 29 juillet, lendemain de notre arrivée et jour de la visite de Nicolas and Co, il a fait très beau. Petit intermède : le lundi 6 août, j’ai rendu visite à mes amis de Besançon, Michèle et Pierre, dans leur maison de vacances du Cap Coz. Pour ce faire, j’ai dû démonter et remonter mon « barnum ». Je vais devenir un as de l’installation d’auvent.