J’ai déjà présenté la Place de la Mairie et la Promenade du Château. Voici d’autres places importantes de la ville et la Promenade Pierre Flamens, menant au canal. |

J’ai déjà présenté la Place de la Mairie et la Promenade du Château. Voici d’autres places importantes de la ville et la Promenade Pierre Flamens, menant au canal. |
Les croyants y verront un miracle. Après la fermeture de Google +, les fichiers perdus ont été retrouvés dans un sous-dossier sur mon ordinateur. Les cartes postales seront sauvegardées sur le serveur de notre site. |
Les croyants crieront au miracle. Les autres feront remarquer que faire le tri dans les dossiers de son ordinateur peut permettre de trouver des fichiers que l’on croyait perdus. Après l’arrêt de Google +, où je les stockais, j’étais persuadé que, comme d’habitude, je n’avais pas fait de sauvegarde de mes cartes postales anciennes. Et voilà que je découvre un sous-dossier Google + dans mon dossier Téléchargements. Pour me protéger des caprices des sites qui décident un beau jour de supprimer certains de leurs services, je vais déposer ces images précieuses sur le serveur de notre propre site.
Des cartes postales anciennes, quand il n’y en aura plus, il y en aura encore, car je n’ai pas fini de les scanner !
Pour commencer voici les 22 premières de Castelsarrasin, qui en compte 311.
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Nous avons beaucoup joué avec cette « carriole », Gérard Dantin et moi, dans les années 50. Il est ici le transporteur, je suis le pas-sager. Gérard a été mon meilleur copain à Castelsarrasin, avant qu’il émigre à Paris avec ses parents. Je le retrouvais chaque an-née aux grandes vacances. C’est chez lui que j’ai écouté pour la première fois un 45 tours d’un chanteur prometteur, un certain Jacques Brel.
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Ma tante de Castelsarrasin m’a donné son exemplaire d’un livre rare : « D 3, Maquis de la Vienne », de Jean Coste, publié en 1945 par la librairie Labouygue, de Poitiers. Rien ne pouvait me faire plus plaisir, mon exemplaire ayant disparu, à Lyon, en même temps que la plupart de mes livres d’enfance. L’ouvrage évoque notamment les actions de mon père, Étienne, à l’intérieur de ce maquis, à partir du 23 juillet 1944 et rappelle son activité clandestine antérieure, depuis 1940. À sa lecture, je me remémore nos jeux de guerre, quelques années plus tard, dans le jardin de Castelsarrasin, où mon copain Gérard Dantin et moi luttions contre lui, avec embuscades, prisonniers et mottes de terre pour munitions. Le ton du livre est un peu daté (on ne parle plus des Allemands comme ça) mais reflète bien l’esprit des maquisards. Ceux qui supportent mal les récits de bagarres devraient s’abstenir. Les autres, cliquez ► ici.
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