Après avoir attribué la destruction de ma boîte aux lettres en 2017 à un automobiliste ivre, j’ai constaté ce matin que sa remplaçante a été arrachée. La gendarmerie et La Poste ont été informées, mais les gendarmes ont expliqué qu’il était inutile de porter plainte car les coupables resteraient introuvables. Pas d’enquête prévue. |
On dirait que quelqu’un m’en veut. Je ne vois pas de quoi. Après la destruction de mon ancienne boîte aux lettres en 2017, que j’avais attribuée à quelque automobiliste éméché, voilà que sa rempla-çante a été arrachée de son poteau dans la nuit du lundi 5 au mardi 6 août.
L’acte de malveillance est cette fois manifeste. La gendarmerie et La Poste ont été avisées. Deux gendarmes de la brigade de Plouigneau sont passés, ont pris des photos et m’ont rassuré en me disant que ce n’était pas à moi de porter plainte, n’étant pas propriétaire de la boîte, mais que si La Poste voulait porter plainte, cela ne servirait à rien, car l’auteur ou les auteurs du délit se-rai(en)t introuvabl(e)s
Comme pour les précédentes mésaventures (vol d’une caravane réussi et tentative de vol de sa remplaçante contrariée par des antivols), il n’a pas été envisagé de relever des empreintes. Le mot « enquête » n’a pas été prononcé.
vues
Laisser un commentaire