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castelsarrasin - Le journal de Jeff

Étiquette : castelsarrasin

  • Montauban (7/7). Deux peintures d’Ingres, quartiers

    Montauban compte 450 cartes postales, plus que les 311 de Castelsarrasin. Cette collection qui appartenait à mon père, a été partagée avec mon frère et ma sœur. Après Montauban, Bruniquel sera la prochaine étape avant de s’intéresser à la Gironde.

    430. MONTAUBAN.- Jésus au milieu des Docteurs - Tableau d'Ingres. Numéro : 00791. Date : 08/08/1906. Destination : Auch (Gers)
    430. MONTAUBAN.- Jésus au milieu des Docteurs – Tableau d’Ingres. Numéro : 00791. Date : 08/08/1906. Destination : Auch (Gers)

    Cette septième série termine la présentation de mes cartes pos-tales de Montauban. Il y en a 450. C’est davantage que les 311 de Castelsarrasin. Normal : Montauban est la préfecture et Castel, comme on l’appelle couramment, la seule sous-préfecture du dé-partement. La première est plus peuplée que la seconde.
    Le nombre d’éléments est une des motivations du collectionneur. Tout comme le nombre de “J’aime” pour les rédacteurs d’un post sur un blog (suivez mon regard, au pied de celui-ci). En l’occur-rence, je ne suis pas le collectionneur puisque que cette collec-tion est ma part de celle de mon papa, partagée avec mon frère et ma sœur.
    Après Castelsarrasin, Moissac et Montauban, on va s’attaquer à Bruniquel.
    Et ce sera tout pour le Tarn-et-Garonne. Avant de s’intéresser à la Gironde.

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  • Montauban (1/7). Souvenir de, vues générales

    Pendant mes grandes vacances, mon père et Odette descen­daient également à Castelsarrasin avant d’aller à Montalivet où je les accompagnais. Nous passions aussi une semaine ou deux à la ferme de tante Antoinette à Montauban.

    Lors de mes grandes vacances, mon père et sa femme Odette descendaient aussi à Castelsarrasin avant de rejoindre l’océan à Montalivet où je les accompagnais. Auparavant, nous allions passer une semaine à Montauban, dans la ferme de tante Antoinette, sœur de mon grand-père paternel, le pépé de Castel. Je prenais cette parenthèse comme une retraite, car si j’y bénéfi-ciais de la même liberté qu’à Castelsarrasin, les possibilités de sorties se limitaient aux cultures et pâturages environnants, la ferme étant éloignée de la ville, à une largeur de petite route de l’hippodrome. Hippodrome où il n’y avait rien à voir en été ! Le spectacle des vaches ramenées du pré à l’étable par les chiens était une des distractions de la journée.
    Je suis aussi venu à Montauban à deux ou trois reprises quand la famille Bardagie, amie de mon père puis de moi, habitait cette ville avant de venir habiter à Castelsarrasin.

    Mar 02.09.2014 Coup d’œil sur l’ex-ferme de Montauban🛈Sur jfsaby.com/blogs/
    Cet après-midi, j’ai jeté mon coup d’œil habituel sur l’ex-ferme de la tante de Montauban. Nous nous y déportions de Castelsarrasin pour y passer une ou deux semaines de nos vacances…

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  • Moissac (1/2). Souvenir de, églises, bâtiments

    La ville de Moissac n’est qu’à sept kilomètres de Castelsarrasin mais je ne la fréquentais guère lors de mes vacances adolescen-tes. Je la traversais parfois quand je m’offrais une balade à vélo jusqu’à Valence d’Agen. Ce n’est qu’en octobre 2010, à 66 ans, que j’y ai arrêté mon ex-fourgon aménagé pour enfin visiter le fameux cloître et l’église Saint-Pierre.

    18.10.2010. Une semaine à Castelsarrasin🛈Sur jfsaby.com/blogs
    Mer 13.10.10. Panne de gaz et incursion dans le moyen-âge. À Moissac, j’ai visité l’abbatiale Saint-Pierre, que je ne connaissais pas et le cloître, que j’avais vu il y a une petite cinquantaine d’années.

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  • Castelsarrasin (10/10). Les environs, les châteaux

    Il y a bien une quinzaine de châteaux dans les environs de Cas-telsarrasin. D’où mon étonnement de n’en trouver que deux sur mes cartes postales anciennes. Le château féodal de Terrides (avec ou sans s) est le plus représenté. Situé dans la commune de Labourgade, il est devenu un hôtel avec espace de réception, restaurant à l’ancienne et piscine à débordement.
    Le château de Sainte-Livrade, à Moissac, est privé et ne se visite pas.

    Les balades de la D.R.E.B

    La D.R.E.B (Découvrir ou Redécouvrir Ensemble à Boudou) est une association particulièrement dynamique qui, entre autres activités, organise des visites des communes et hameaux autour de Boudou (Tarn-et-Garonne).

    SAINTE-LIVRADE. Visite du 27 avril 2018              Site en refonte : lien invalide
    Château de TERRIDES. Visite du 12 avril 2019   Site en refonte : lien invalide

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  • Castelsarrasin (9/10). Abbaye et ponts de Belleperche, pont de Trescassés

    Je n’ai rien à raconter de personnel sur ces trois ponts qui traver-sent la Garonne, près de Castelsarrasin. Je ne les ai fréquentés ni à pied, ni à cheval, ni en voiture, ni en train.
    Le plus proche de ma ville de vacances est le pont de Trescassés. Celui qui figure sur mes cartes anciennes est un pont suspendu qui a été ouvert en août 1851 avec un péage à 5 centimes pour les piétons et 80 centimes pour les voitures à cheval ! Il a été partagé un temps avec une ligne de tramways à vapeur, ce qui fut l’occa-sion de nombreux incidents et accidents entre ses usagers. Il n’existe plus et a été remplacé par un pont routier pas suspendu beaucoup moins spectaculaire. Les cartes montrent l’ancien pont suspendu de Belleperche, construit en 1841, démoli en 1937 et remplacé en 1941 par le pont actuel. Situé en amont, le pont ferro-viaire de Belleperche est traversé par la ligne de Castelsarrasin à Beaumont-de-Lomagne. Je n’arrive pas à trouver la date de sa construction, logiquement antérieure au 9 octobre 1904, date de la mise en service de la ligne par la Compagnie du Midi. Actuellement peu utilisée (uniquement du fret) cette ligne pourrait rouvrir au service voyageurs.
    L’abbaye de Belleperche est devenue le Musée des Arts de la Table. Ma petite-cousine Angélique m’avait emmené le découvrir en octobre 2011, mais nous avions trouvé portes closes. À défaut nous nous étions promené vers la fontaine des moines, à 200 mè-tres de l’abbaye. J’avais eu l’inconscience d’écrire : « C’était leur cabinet de toilette à ciel ouvert, en quelque sorte. N’avaient pas intérêt à oublier de prendre leur savon ». Ce qui me valut une salve de 11 commentaires plus ou moins égrillards déclenchée par celui du très regretté Guy Blanchard : « N’avaient pas intérêt à oublier de prendre leur savon… ou à le laisser tomber ? ».

    Dim 02.10.2011. Bamboo Parc, abbaye de Belleperche🛈Sur jfsaby.com
    Castelsarrasin. Visite du Bamboo Parc (fermé depuis 2014) et de l’abbaye de Belleperche…

    Les ponts suspendus en Tarn-et-Garonne

    Le Tarn-et-Garonne doit à son réseau hydrographique d’être le département de France le plus doté en ponts suspendus ! Car franchir des cours d’eau comme la Garonne, le Tarn ou l’Aveyron est plus difficile qu’il n’y parait.
    Leur largeur impose des ponts traditionnels à plusieurs arches, qui s’appuient sur des piliers dressés dans le lit des rivières que les crues mettent souvent à mal, tout en fragilisant l’ensemble de l’ouvrage. C’est la raison pour laquelle au milieu du XIXe siècle, et à la faveur de l’émergence d’un acier de meilleure qualité, s’est développée la technique des ponts suspendus qui permettent de franchir de grandes brèches sans prendre appui dans la rivière. Un coût plus faible également. C’est ainsi que les ponts suspendus ont conquis le Tarn-et-Garonne, de 1841 à 1884.
    On en comptait 11 à l’origine, mais il n’en reste que dix, car le pont de Trescasses a disparu dans les années 1980. Tous sont ouverts à la circulation (à l’exception du pont de Bourret).

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  • Castelsarrasin (8/10). Le canal, le lavoir, les moulins

    00237. Castelsarrazin - Passerelle sur le Canal. 01/11/1903. Dest. : Carcassonne (Aude). Achille Bouis, phot., Montauban
    00237. Castelsarrazin – Passerelle sur le Canal. 01/11/1903. Achille Bouis, phot., Montauban

    Le canal latéral à la Garonne🛈Sur wikipedia
    Le canal latéral à la Garonne, ou canal de Garonne, est un canal latéral français de petit gabarit datant du XIXe siècle, qui relie Toulouse à Castets et Castillon (Gironde) près de Bordeaux, où il rejoint la Garonne… Avec le canal du Midi qui relie Toulouse à Sète, il forme le canal des Deux-Mers entre la Méditerranée et l’océan Atlantique.
    ou canal de Garonne est le pro­lon­ge­ment du canal du Midi depuis Toulouse jusqu’à proximité de Bordeaux où il rejoint la Garonne.
    À Castelsarrasin, un élargissement partiel de ce canal a été créé. On l’appelait le bassin. Il ne s’y passait pas grand chose, à part la rare traversée de péniches commerciales, des kermesses et le feu d’artifice du 14 juillet.
    Il est devenu, depuis 1997, le Port Jacques-Yves-Cousteau🛈Sur wikipedia
    Le Port Jacques-Yves-Cousteau, situé à Castelsarrasin, en région Occitanie, est un port de plaisance consacré au tourisme fluvial. Ce port est situé sur le canal de Garonne, dans le centre-ville de Castelsarrasin.
    , équipé pour le tourisme fluvial, et il rencontre un énorme succès. À chacun de mes séjours à Castel je vais passer une heure ou deux à rêver devant les péniches, devenues de plaisance, et les autres bateaux, de plaisance d’origine, tous aménagés en maisons mobiles confortables.
    Les trois cartes postales sur le lavoir me laissent perplexes. Je croyais qu’il se trouvait au bord du canal, mais pas du tout : il était en léger contrebas du boulevard Sanguineng. Je n’en ai pas le souvenir. Peut-être avait-il déjà été remplacé par des immeubles.

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  • Castelsarrasin (7/10). Abattoir, gare, square, maison, vues générales

    Castelsarrasin - La Gare. Date : 03/07/1910. Destination : Valence d'Agen (Tarn-et-Garonne)
    Castelsarrasin – La Gare (Vue intérieure). Edition de la Maison des Grands Magasins Réunis. 03/07/1910.

    L’arrivée en gare de Castelsarrasin était pour moi un bonheur. Elle marquait le début des grandes vacances chez des gens que j’aimais tous, sans exception. Peut-être parce que, contrairement à ma vie à Lyon où j’étais plutôt vissé, on me laissait ici une totale liberté.
    Au début, quand j’étais trop jeune pour voyager seul, mon grand-père maternel, dit parrain et ma grand-mère maternelle, dite marraine, m’ame­naient en voiture de Lyon à la gare de Sète où mon grand-père paternel, dit pépé, arrivait de Castel pour me récupérer. À cette occasion rituelle, pépé sortait le costume. On se retrouvait à Palavas-les-Flots dans un restaurant de bord de mer, toujours le même, pour la bouillabaisse que j’évitais, n’aimant pas le poisson. Une ou deux fois nous avons assisté aux fa­meuses joutes nautiques de Sète.
    Quand j’étais devenu grand, je faisais le voyage seul, dans les volutes carbonées des locomoti­ves à vapeur. Il y avait un changement de train à Toulouse qui me laissait le temps de me balader dans la ville. J’ai encore l’image des vendeurs de violettes sur les trottoirs des rues du centre.
    Une fois, de nuit, je me suis arrêté à Avignon et j’ai dormi sur un banc de la gare en attendant le train pour la Côte d’Azur. But de cette dérivation prémé­ditée et clandestine : retrouver mon amou­reuse de l’époque à Haut-de-Cagnes. Souvenir d’une nuit seul à la belle étoile dans la nature à mi-pente de la colline avec les lumières de la brique­terie restées allumées en contrebas dans la vallée.
    Au matin, ma copine m’avait apporté deux énormes sandwiches confectionnés à l’insu de ses parents mais tartinés de fromage, denrée dont je suis allergique.
    J’ai su plus tard que mon père avait été avisé de mon escapade secrète par quelqu’un qui m’avait vu à Haut-de-Cagnes. Ouh, le vilain rapporteur !

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  • Castelsarrasin (6/10). La caserne, les écoles, l’usine

    La Ferme Saby fournissait des fruits et légumes à la caserne. Tante Antoinette possédait un terrain derrière la caserne, où j’ai ramassé des patates. Plus tard, une maison y a été cons­truite où elle a fini ses jours. Je n’ai pas fréquenté les écoles ni l’usine.

    00180. Castelsarrasin - Caserne Banel - Le Corps de Garde. Date : 04/12/1913. Destination inconnue.
    00180. Castelsarrasin – Caserne Banel – Le Corps de Garde. Date : 04/12/1913. Destination inconnue.

    La ferme Saby avait l’exclusivité du ravi­taillement en fruits et légumes de la caser­ne. Derrière cette caserne, touchant son mur arrière, s’étendait un lopin de terre appartenant à Antoinette, la tante de Mon­tauban, sœur du pépé de Castel. J’y ai ra­massé des patates. Plus tard, un lotisse­ment s’est élevé à cet endroit et à l’em­placement de la parcelle d’Antoinette a été construite une maison où elle a fini ses jours après avoir vendu sa ferme montal­banaise. Pour ce qui est des écoles et de l’usine, je n’ai rien à en dire de personnel car je ne les ai pas fréquentées. Il parait qu’à l’école mon père Étienne était aussi bon en lettres qu’en maths. Je n’ai pas hé­rité de ses aptitudes en maths ! À mon époque, au milieu des années 1950, l’usine Sainte-Marguerite🛈Sur persee.fr
    Un établissement industriel dans une région agricole.
    employait 1200 per­sonnes. Autant dire que j’en entendais parler. Mais je ne me baladais pas dans cet endroit.

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  • Castelsarrasin (5/10). Avenues, boulevards et rues

    Le marché hebdomadaire de Castelsarrasin se tient le jeudi matin au centre-ville. Mémé tenait un stand de fruits et lé­gumes et tonton Serge un stand de charcuterie.
    Je me souviens des repas dans la charcuterie familiale.
    L’hôtel Marceillac est un bâtiment remarquable de style Art Nouveau.

    Castelsarrasin – Avenue de Gascogne. Date : 08/12/1918. Destination : Montauban (Tarn-et-Garonne)

    Le jeudi, le marché envahit toujours le centre-ville, précisément la place de la Li­berté (sous les halles autrefois), la rue de la Révolution et le début de la rue de Var­sovie, la place du Progrès (ou de la Poste) et la Promenade Flamens. Mais il se limite à la matinée, alors qu’il se prolongeait jus­qu’en fin d’après-midi. La mémé de Castel, seconde épouse du pépé, après le décès de ma grand-mère en 1928 (mon père avait 7 ans), tenait un stand de fruits et légumes non loin du début de la rue de la Révolu­tion. Tonton Serge, mari de tatie Jeannet­te, sœur de mon père, tenait son stand de charcuterie 30 mètres plus loin sur le mê­me trottoir, devant le magasin de meubles de Jacky Barrière. Ce dernier m’avait à la bonne. Il m’appelait « petite tête de balai-brosse ». Il chassait parfois avec pépé et Serge et il m’arrivait de les accompagner comme simple spectateur.
    La charcuterie de Jeannette et Serge était dans la rue de la Fraternité. J’étais parfois invité à déjeuner dans la salle à manger derrière la bou­tique. Au début, il y avait les parents de Serge, puis seulement sa maman avant la disparition de cette der­nière quelques années plus tard. J’ai été surpris de constater que ce métier exigeait beau­coup de travail. Dans la partie abritée de la cour, derrière le laboratoire, était ac­crochée une cage conte­nant deux petits oi­seaux dont je ne sais plus le nom de l’es­pèce, qui avaient la particularité de tricoter la laine qu’on mettait à leur disposition pour faire des nids.
    Dans la rue de l’Égalité, l’extraor­dinaire Hôtel Marceillac🛈Sur wikipedia
    L’hôtel Marceillac est un hôtel de Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) de style Art nouveau construit à l’initiative de Pierre-Adrien Marceillac et inauguré en 1912. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 18 mai 2006.
    , à l’origine Hôtel Moderne, est de style Art nouveau. Il appar­tient toujours à la même famille. Mes grands-parents lyonnais y ont couché lors­qu’ils m’ont amené à Castelsarrasin en voi­ture, la première fois. Plus récemment, j’y ai moi-même passé quelques nuitées ter­minées par un petit-déjeuner copieux et varié.

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  • Castelsarrasin (4/10). Les églises

    Pendant mes vacances à Castelsarrasin, je fréquentais l’égli­se Saint-Jean et devais faire signer un carton chaque di­man­che pour prouver ma présence à la messe.
    L’église Saint-Sauveur, autre lieu important, abrite des reli­ques de Saint-Alpinien.

    00079. Castelsarrasin - Place et Eglise Saint-Jean. Date : 25/09/1914. Destination : Avranches (Manche).
    Castelsarrasin – Place et Eglise Saint-Jean. Date : 25/09/1914. Destination : Avranches (Manche).

    Lors de mes « grandes vacances » à Cas­tel­sarrasin, mon église, qui était aussi celle de notre famille, était l’église Saint-Jean (XVIe siècle), la plus proche de l’ex-ferme Saby.
    Chaque dimanche, je devais faire signer par le prêtre un carton à cases (une par semaine), à l’intention de mon catéchisme lyonnais, pour attester de ma présence à la messe. Ça ne rigolait pas, à l’époque. Je me souviens même d’un trajet Lyon-Genè­ve avec mes grands-parents maternels où on s’était arrêté dans un village de l’Ain pour assister à l’office dominical et faire si­gner ce foutu carton.
    Reconstruite en 1254 mais apparaissant dans des textes dès 961, l’église Saint-Sau­veur fut le prieuré de l’abbaye de Moissac jusqu’en 1626 et de ce fait devint l’église la plus importante du diocèse de Bas-Montauban. Elle abrite les reli­ques de Saint-Alpinien, patron de la ville. Sur cer­taines cartes on voit un square devant l’é­difice. Je ne l’ai pas connu. Certes, je ne suis pas de la dernière pluie bretonne, mais il ne faut pas exagérer tout de même.

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