Ma première sortie dans Paris a été pour visiter le musée Rodin. Après avoir vu, dans le bâtiment de l’entrée, l’exposition tempo-raire sur Rodin et l’art japonais, je me suis promené dans le jardin. Puis, dans le bâtiment principal, j’ai parcouru les salles de l’expo-sition permanente. Je me suis attardé dans la (trop) petite salle consacrée à Camille Claudel, constatant, une fois de plus, que je préfère l’élève au maître.
Nous voici cap-horniers. Roc’h et moi avons en effet traversé plusieurs fois le camping Le Cap Horn, à Plouézec, depuis l’entrée jusqu’à la plage, pendant notre séjour dans cet établissement du lundi après-midi 4 juin, vers 17 h, au jeudi matin 7 juin, vers 10 h. Le mardi matin, je me suis rendu à vélo à Port Lazo.
HOLLANDAIS MORDU. L’après-midi séance plage. Roc’h a mordu au bras, par inadvertance, un touriste hollandais qui voulait protéger son teckel à poil dur d’une attaque de l’épagneul breton. Le blessé a dû aller à l’hôpital pour un point de suture. Il devra prendre des antibiotiques pendant sept jours et retourner à l’hôpital dans quinze jours pour faire enlever le point de suture. Il n’a pas voulu que je lui rembourse ses frais médicaux, normalement pris en charge par son assurance-maladie, demandant seulement 30 ou 40 euros pour remplacer son veston. Je lui en ai donné 50.
LE MOULIN PERD UNE AILE. Mercredi matin, j’ai pris le vélo (ça grimpe tout le long) pour faire des courses à Plouézec. L’après-midi, toujours à vélo, sous le crachin, je suis allé voir le moulin à vent à mouture de Craca, l’un des deux derniers de Bretagne, victime d’une récente tempête. Par mesure de sécurité, sa dernière aile a été découpée par des employés communaux le lendemain de mon passage (n’y voyez pas un lien de cause à effet). C’est ce que j’ai appris dans un long article publié en dernière page du Télégramme de vendredi.
BILAN MÉTÉO. Au bilan météo, signalons un temps gris et un horizon bouché pendant ces trois jours (sauf le temps de quelques photos) avec un peu de fraîcheur, le mardi après-midi (juste le temps de ma séance plage) et de crachin, le mercredi-après-midi (juste le temps de ma balade à vélo). Depuis notre retour à la maison, il fait un temps splendide !
Lors de mon séjour à Theix (Morbihan), le week-end dernier, Ewan m’a reçu à plusieurs reprises à son domicile. J’ai ainsi découvert le logement, agréable et moderne, qu’il partage avec ses parents depuis l’été. Grand plus par rapport à celui de Marcillac (Aveyron), un sympathique jardin en pente très apprécié par notre jeune cascadeur.
Samedi, en fin d’après-midi, Laëtitia et Ewan m’ont fait connaître Saint-Armel, dans le Golfe du Morbihan, en face de l’île Tascon. Au terme d’une belle promenade au bord de la « petite mer », nous avons essayé quelques sièges et tables de pique-nique en forme — région oblige ! — de dolmen.
Roc’h et moi avons passé le week-end de l’Ascension au camping de Rhuys, à Theix. Arrivés le jeudi soir à 19 h 45, nous sommes re-partis le lundi à 10 h 20. Nous avons eu la visite de Laëtitia et Ewan. Ce dernier a apprécié les jeux pour enfants, en particulier le toboggan. Il a inspecté l’Eurocamp de fond en comble, exigeant l’ouverture de tous les coffres.
1/17. Tronoën. Pause déjeuner devant de la chapelle. Dim 15.04.2007, 11:11.
Comme je l’ai raconté hier, j’étais dimanche dernier au milieu des fleurs, tout près de la pointe de la Torche. Entre la visite du champ Kaptein le matin, de Florimer et Kaandorp l’après-midi, j’ai fait une pause déjeuner sur le parking en face de la chapelle de Tronoën et de son calvaire, le plus ancien de Bretagne. Cela valait bien une visite.
La pointe de la Torche est un des meilleurs spots d’Europe pour les véliplanchistes. Ce qui est moins connu, c’est que cet endroit fait du Pays Bigouden la première région française pour la production des bulbes de tulipes. Depuis le début des années 80, fleurissent sur plus de 160 hectares, les champs de tulipes et autres fleurs à bulbes faisant éclater la couleur sur les terres de la Palue auparavant abandonnées. Attirées par les sols sablonneux et le climat maritime, deux familles hollandaises (Ets Kaptein et Ets Kaandorp) et une entreprise d’Anjou (Ets Florimer) ont apporté leur savoir-faire, la garantie de débouchés commerciaux aux Pays-Bas… et aussi la fête des fleurs, organisée depuis 20 ans, de la mi-mars et tout le mois d’avril. Monument sculpté en jacinthes chez Kaandorp, circuit à bord des deux petits trains Florimer, expositions florales et mosaïques attirent chaque année des milliers de visiteurs.
J’étais ce week-end en mission de reconnaissance à Saint-Guénolé-Penmarch, dans le Sud-Finistère. Il s’agissait de répérer, dans le camping Le Domaine de la Joie, les positions respectives du mobilhome reservé du 28 juillet au 11 août par mon oncle et ma tante de Chazay d’Azergues et de l’emplacement réservé par moi pour la même période. Nous avions demandé à être proches. Il n’est pas possible de l’être davantage. Parti le samedi 14 avril en fin d’après-midi, j’étais de retour à la maison le lundi 16 vers midi. J’en ai profité pour faire la traditionnelle promenade sur la pointe de la Torche.
La semaine dernière, je me suis rendu à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) pour assister, le jeudi 15 mars en l’église Saint-Sauveur, aux obsèques d’André Bardagie, un ami de mon père qui était de-venu le mien. Avec sa femme, Jackie, et leurs filles, Nadine, Ser-gine et Géraldine, j’ai passé de bons moments, dans les années 60, notamment au bord de la Garonne où j’ai fait un tour en pè-lerinage, le samedi 17 mars, avant de me promener vers le bassin, la gare et le cinéma Vox, autres lieux chargés de souvenirs. Parti mardi 13 mars à 21 h 34, j’étais de retour en Bretagne le lundi 19 à 9 h 56. Cela a été l’occasion de revoir tatie (la sœur de mon père), chez qui j’avais garé l’Eurocamp, l’un de ses deux fils, Alain, qui m’a fait connaître, le vendredi 16 mars, l’étonnante ► pente d’eau de Montech, et les enfants d’Alain, Angélique et Fabien.
Faute d’actualité, continuons notre plongée dans les souvenirs de vacances. Du samedi 5 au samedi 19 août 2006, mon oncle Ber-nard et ma tante Claude dans un mobilhome et moi dans mon Eu-rocamp avons séjourné deux semaines au camping Les Saules, à La Forêt-Fouesnant. La première semaine, nous avions la compa-gnie de ma filleule Audrey, de son mari Nicolas et de leur fils Louis, qui avaient eux aussi loué un mobilhome. Le vendredi 11 aoùt, mon fils Nicolas, Laëtitia et Ewan, nouvellement installés dans le Mor-bihan, sont venus nous rendre visite. Ils ont couché dans leur ten-te, installée sur mon emplacement, près de l’Eurocamp et sont re-partis le samedi après le déjeuner.